Nom : Kouyou
Prénom : Uruha
Âge : 16 ans
Origines : Sa mère était une musicienne japonaise, et son père un illustre diplomate anglais.
Orientation Sexuelle : Il est bisexuel, mais éprouve tout de même une forte préférence pour les femmes.
Caractère : Uruha est souvent d’humeur joyeuse, il saute partout, chantonne à tue-tête et est gentil avec tout le monde. On pourrait se demander ce qu’il fait dans un pensionnat pour "malades mentaux", mais en vérité, il est peut-être le plus dérangé de tous. Tout compte fait, si on explore de plus près son comportement, il s’avère qu’il a le même caractère qu’un gosse de cinq ans, et que cette façade lui sert à cacher un comportement orgueilleux, vantard, violent, colérique, et hypocrite plus que tout. Il est capable de dire d’une personne avec qui il sort depuis des mois et des mois que c’est un véritable thon, un imbécile et un débile… il parle souvent dans le dos des gens, est une véritable langue de vipère, mais personne n’y fais attention. Il possède un tel charme que personne ne fais attention à se paroles venimeuses, restant trop fixé sur son charisme et son physique plus qu’avantageux. Ainsi, même ceux qui savent pertinemment qu’ils sont bafoués dans leur dos ne protestent pas, ils restent attachés à lui comme à une relique sacrée. Il a développé cette personnalité par manque d’affection, et s’en contente très bien.
Il adore régner sur son "royaume", comme il l’appelle, et est extrêmement manipulateur. Il est aussi particulièrement sadique et masochiste, aimant à ouvrir des entailles partout où il peut, la vue du sang le mettant dans un état particulièrement euphorique.
Aucune personne sur cette Terre ne peut se vanter de connaître la totalité des facettes de sa personnalité, et ne pourra sûrement jamais le faire…
Physique : Uruha est un jeune homme particulièrement beau. Il a un visage très fin, si bien qu’on pourrait parfois le confondre avec une fille. Il aime bien tromper les gens en transformant quelque peu sa voix et leur faire croire qu’il est bien représentant du sexe féminin. Tout l’amuse, surtout le mensonge, et il se sert souvent de son physique et de son charisme pour tromper son monde.
Il porte ses cheveux un peu au-dessus de ses épaules, à l’origine noirs, il les décolore pour faire apparaître quelques mèches blondes et les coiffe longtemps le matin, changeant leur arrangement très souvent.
Ses yeux sont d’un bleu foudroyant, assez étranges pour un garçon d’origine japonaise. Sa peu est très pâle et il se maquille souvent pour renforcer son air légèrement gothique et mystérieux.
Sa façon de s’habiller change du jour au lendemain, mais elle est toujours très élaborée. Il peut porter, un jour, des bas résilles avec porte jarretelles et un genre de corsage sur un short moulant, aussi bien qu’un simple jean accompagné d’une paire de converses customisées.
Il est assez grand et extrêmement mince, sa musculature n’est pas apparente, mais quand il le veut, et surtout lorsqu’il est en colère, il peut foutre une raclée phénoménale à un gorille. (façon d’parler, hein ! ^^)
Autres : C’est un véritable génie musical. Il possède une voix extraordinaire, forte et claire, montant dans des aigus dignes de chanteurs d’opéras. Il joue aussi de la basse et de la guitare, ainsi que de la flûte traversière, et apprend vitesse grand V n’importe quelle chose se rapportant à la culture, l’univers musical.
Histoire : Uruha naquit dans le manoir de Black Forest, qui se trouvait au centre d’une lugubre forêt d’où son nom, vous l’aurez deviné.
Sa mère était une jeune femme âgée de vingt-six ans, japonaise, et elle ne survécut pas à l’accouchement.
Son père, qui avait quelques années de plus que sa bien-aimée, en voulut tout le long de sa vie à son fils. Il l’accusait d’avoir pris la vie de sa femme. D’être un tueur, un preneur de vies, un vampire.
L’homme était diplomate. Il savait manipuler les gens facilement. Uruha finit donc par être persuadé que son père disait bel et bien la vérité. À partir de ses neuf ans, il ne fut plus qu’ombre et remords, pleurant le soir sur la tombe de sa mère, hurlant au Ciel qu’il s’excusait, de prendre sa vie pour ressusciter sa mère, afin que son père ne soit plus malheureux, et qu’on le laisse tranquille, une bonne fois pour toutes.
Mais il ne fut jamais entendu.
Au fil des années, sa Folie allait de pire en pire. Il alternait moments "normaux", moments "gamins" et moments "sados-masos" totalement effrayants. Dans ces dernières périodes, il cassait tout ce qui était à sa portée, enfonçait le moindre truc piquant ou coupant là où il pouvait, êtres vivants comme objets. Plusieurs animaux trouvèrent la mort, des chiens qui fouillaient dans des poubelles, des souris qui ne cherchaient qu’un morceau de fromage et qui n’avaient rien demandé. Plusieurs fois on du l’incarcérer de force et le laisser se calmer.
Le père, toujours sans scrupules, se lassait tout de même de manipuler son fils et de se moquer de lui.
Il lui donna encore moins d’attention. En grand manque d’affection, le jeune homme se façonna une nouvelle personnalité de toutes parts. Il voulait être aimé de tous, s’il ne pouvait recevoir d’Amour de son père. Mais il était incapable d’être pur.
Un jour, son père n’en put plus. Il détestait toujours plus son fils, l‘arrogant qu’il l’avait fait devenir, et décida de s’en débarrasser une bonne fois pour toutes. Il composa le numéro de téléphone d’un genre de pensionnat pour "fous" dont il avait entendu parler et l’envoya là-bas en rigolant.
Mar 12 Sep - 20:47